party for the rest of my life.

la jeune femme ne savait plus vraiment ou elle en était au niveau de ses sentiments elle était complétement perdue ,àentre son ex enfin l'homme sue qui elle avait craque en prison et Maël le flic qui pendant trois ans l'avait aide du mieux qu'il pouvait . Elle soupira et regarda l'heure elle était déjà en retard pour son cours de math pas qu'elle aimait ca mais  elle n'avait plus droit a aucune absence sous peine d'être envoyée . la jeune brune se leva en grognant comme tous les matins et se dirigea vers la salle de bain et prit une douches rapide pour ne pas être sale et se maquilla et mit du rouge a lèvres rouge et passa a la case habits.
Elle fouille dans sont armoire et prit un vieux short en jeans et un débardeur rose qui la mettait parfaitement en valeur et laissa ses longs cheveux bruns en liberté et ferma son appartement.

Elle monta dans sa mini-cooper et se dirigea vers le campus , et roula assez vite pour pas arriver en retard , et se gara rapidement et tomba nez a nez avec Alexia merde!. Elle soupira et joua avec ses cheveux la voir de si près la stressait  elle  la regarda de haut en bas et dit méchamment "Tu peux bouger petasse"Elle ne pensait aucun cas l'insulte mais elle ne voulait pas se montrer vulnérable devant cette jeune fille. elle le regarda de haut en bas et lui souffla a la figure la fumée de sa cigarette  et la toisa du regard. elle l'avait pourtant tant adorer cette belle blonde a faire des fonderies avec elle et elle avait tout gâche juste car elle ne lui pas avouer la vérité sur sa vie et sa famille ,elle pouvait être conne

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J’étais levée de bonne humeur aujourd’hui. Je crois que c’était l’une des premières nuits que je passais à dormir pleinement. Mes problèmes s’étaient un peu dissous ces derniers jours et je me sentais bien mieux. En plus, j’avais cours de français ce matin, rien de mieux pour se réveiller. Je maîtrisais plutôt bien cette langue depuis le temps. Enfin, disons que je me débrouillais bien mieux que certains considérant que ce n’était pas la plus simple de l’univers. Il y avait toujours des exceptions dans tous les sens et j’avais du mal à toutes les retenir. J’étais d’ailleurs en train d’apprendre ou de réapprendre les terminaisons particulières du troisième groupe dans les différents temps proposés. Ce n’était pas forcément ce qu’il fallait faire quand on marchait en direction de l’université, mais le contrôle était dans une heure et je n’avais pas pris le temps de réviser avant. Je profitai donc de chaque instant pour me remettre ça en mémoire. Une chance que j’avais une bonne capacité à retenir en ce qui concernait les langues étrangères.

Je relevai la tête de mon cahier en entendant le moteur d’une voiture. J’étais tellement habituée à tout faire à pied dans le coin que j’avais oublié la possibilité de venir en transport. Mais ce qui me dérangeait, c’était surtout le bruit indiquant une vitesse un peu trop élevée. Je n’avais pas envie de me faire bousculer tout de suite, j’avais assez été à l’hôpital comme ça. Je pris donc soin de remonter sur le trottoir pour laisser les places de parking libre d’accès. Je me replongeai tout de suite dans ma lecture, faisant en sorte de laisser le bruit de moteur en fond lointain. « Tu peux bouger pétasse. » Je levai les yeux et vis sans surprise Pimprenelle. Elle commençait à me casser les bonbons celle-ci. Je fermai avec calme mon cahier et m’arrêtai net devant elle. Je croisai les bras, lui annonçant clairement que je ne comptais pas bouger de sitôt. « Incroyable, tu arriverais presque à t’améliorer sur tes insultes ! Presque, n’abusons pas. » Je levai les yeux au ciel. J’hésitai à en rajouter une couche mais en vérité je n’avais pas envie de lui parler. Moins j’étais en sa présence, mieux c’était. Je me détournai donc dans un mouvement naturel et rouvris mon cahier à la bonne page. Je ne pris même pas la peine de lui faire comprendre que je passais à autre chose, mon attitude était assez explicite.

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Pimprenelle avait tellement changé depuis la mort de son pére , elle avait perdu de nombreux amis et dont une à qui elle tenait vraiment Alexia , elle l'aimait cette petite tete de blonde mais voila elle avait preferé couper les ponts que lui dire la verité et elle l'avait perdu . Elle la regarda de haut en bas avec un air hautain enfin le plus hautain possible mais au fond d'elle même elle en souffrait , avec elle , elle se tapait de bon délire et passait des soirées de folie mais voila tou ca c'était le passé et celui lui manquait terriblement mais jamais oh non jamais elle le dirait . Elle la regarda s'eloigner et repassa devant elle pour lui bloquer le chemin et mit ses mains sur ses hanches " je me dis qu'utiliser trop de salive pout toi ne serais qu'un gachis et je suis beaucoup trop bien comparé a toi pour sortir d'autre insultes plus vulgaire"

La jeune brune ne bougea pas de devant et la regarda dans les yeux " Vraiment tu as pas changé toujours aussi hautaine et sans coeur a ce que je vois " Elle le regarda avec un petit sourire moqueur si seulement elle pouvait lui dire que elle regrettait tout ca , qu'elle voulait juste la retrouver et repasser des soirées de folies mais non il fallait qu'elle fasse la peste . Elle remit une meche de cheveux en place " Sinon je voulais te demander comment va ta famille ?" c'était une pique mais elle voulait se montrer mechante pour cacher son mal etre

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Etrangement, j’arrivai beaucoup moins à me concentrer sur mon français avec cette petite interruption. Je ne pensais vraiment pas là retrouver ici et j’aurais préféré que ce fût le cas. Mais c’était sans doute trop demandé pour elle. Après tout, elle n’avait pas hésité à m’agresser dès le départ. Le temps où nous avions pues être amies était révolu et même si Maya ne semblait pas avoir le même avis que moi, je ne comptais pas changer d’attitude. La brune m’avait lâchement abandonnée au mauvais moment et jamais elle ne s’en était excusée. Elle ne comptait pas le faire vu sa façon de m’aborder. Je fermai mon cahier avec énervement. Je n’arrivai pas à lire les verbes, ils tremblaient sous mes yeux. Je ne les comprenais même plus de toute façon. Elle avait gâché toutes mes chances de réussir ce foutu contrôle. A peine je relevai la tête que je la vis débouler devant moi. Je crispai automatiquement ma mâchoire. Je n’avais pas envie de la voir, pas envie de lui parler. Je voulais juste vivre ma vie comme j’avais pu le faire ces dernières semaines. Pourquoi il fallait qu’elle vienne à chaque fois tout gâcher ? Quand est-ce qu’elle comprendrait qu’elle était rayée à jamais de mes amies ? Elle osait en plus dire que j’étais sans cœur quand elle abordait le sujet de ma famille ? « Ma pauvre, ça doit être dur d’être dans ta tête. Tu aurais gaspillé beaucoup moins de salive en étant plus vulgaire mais bon… » Je ne savais pas pourquoi je continuai à lui répondre. Je ne savais pas non plus pourquoi elle me cherchait. Je l’avais bien arrosée la dernière fois qu’on s’était croisée, mais elle m’avait rendue la pareille et on avait arrêté là. Alors pourquoi cherchait-elle les ennuis avec moi ? Qu’est-ce qu’elle voulait au juste ? « Parce que ça t’intéresse maintenant ? » Si elle n’entendait pas le reproche dans ma voix, elle était sourde. Enfin, elle n’avait pas dû faire attention pendant toutes ces années, il ne fallait pas trop espérer. Je sentis ma lanière de sac glisser de mon épaule. Je la rattrapai au dernier moment et me remis en marche. « J’ai cours alors laisse-moi tranquille ! »

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 Elle la regarda dans les yeux ses mains tremblaient mais pas par énervement non car elle était triste , tellement triste de voir son ancienne amie énervée comme ca  et elle s'en voulait d’être aussi méchante que ca . Elle soupira discrètement et  la regarda droit dans les yeux "Ton cours il va entendre , ont doit parler et si tu veux pas parler pas grave tu va m’écouter " Elle resta devant elle pour ne pas la laisser partir et mit ses mains sous sa poitrine , et fit un minuscule sourire " Je peux savoir pourquoi tu m'en veux autant ? "  . Elle en avait peut être une petite idée mais elle voulait l'entendre de la bouche d' Alexia , elle savait qu'elle avait coupé les ponts avec tous le monde mais comment expliquer aux gens qu'elle avait tuée son père et qu'a cause de son geste son frère c'était retrouvé en prison pour trois ans , comment elle pouvait lui annoncé ça , elle avait donc décidé de tout plaquer et de couper les ponts c'était plus simple pour elle.

Pimprenelle regarda alexia cela lui manquait tellement de la serrer dans ses bras , et sans faire attention elle venait de se montrer vulnérable cela se voyait dans son regard  et dans sa façon de bouger. Elle remit en place son sac avec ses cahiers pour une fois qu'elle venait elle avait tout prevu pour faire sa faux cul " On expliquera au prof , je vais te trouver la meilleure excuse mais répond à ma question stp"

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Je n’eus pas vraiment la place pour partir de là. Pimprenelle prenait toujours autant de plaisir à me bloquer. Elle qui ne m’avait pas parlée pendant plusieurs années, qui m’avait laissée seule au pire moment, elle venait maintenant me casser les pieds alors que la distance aurait été acceptée avec joie. Je la vis croiser ses bras sur son ventre tandis qu’elle me forçait à l’écouter. Tout d’un coup, elle avait ce besoin de me voir, c’était incroyable. Et ça allait de pire en pire, elle osait me demander ce que je lui reprochais. Comme si elle n’était pas au courant de ce qu’elle lui avait fait, comme si elle ne s’en était pas rendue compte. Et si c’était le cas, c’était encore plus horrible,  cela voulait dire que son amitié n’était que du chiqué depuis le départ. Je crispai ma mâchoire avec colère, rancune. Je pouvais voir que sa prétendue méchanceté n’était que couverture face à sa nouvelle vulnérabilité. Elle n’avait jamais été capable d’être vraiment méchante, elle ne pouvait pas me battre à ce jeu. Elle en était même au point de me supplier. « Pourquoi je te répondrai ? Franchement ? En quoi tu mérites une quelconque réponse de ma part ? » On pouvait sentir clairement tout le ressentiment à son égard. S’il y avait bien une chose que j’avais du mal à faire, c’était de pardonner. Dès qu’on me faisait du mal, que j’avais l’impression d’être trahie, je ne pouvais pas faire confiance de nouveau et on pouvait dire qu’elle m’avait bien trahie. « Tu ne crois pas qu’il est un peu tard pour parler ? Si tu voulais vraiment comprendre, me parler comme tu dis, tu aurais dû venir il y a 5 ans ! » J’aurais pu partir, ne pas faire attention à toutes ses interruptions, à ses passages sur mon chemin. Pourtant, j’étais encore là, en face d’elle, me rendant plus qu’en retard à mon cours. Pourquoi lui laissai-je autant d’importance ? Pourquoi fallait-il que ça me blesse autant ? « Alors Pim, à ton avis, pourquoi je ne veux plus voir ta tête ? » Je croisai moi aussi les bras sur ma poitrine, un regard noir dirigé vers elle. Si elle voulait des explications, elle allait en avoir.