Si faire la fête est un crime, qui sera arrêté le premier ?  
Dolce & Jeffrey

Tu ne t'occupes pas de tes prostituées ce soir, tu les as laissé à un de tes collègues. Tu n'aimes pas partager tes affaires, mais si tu veux avoir des soirées de libre, tu n'as pas le choix. Cette après midi, tu as reçu de nouvelles doses de drogue, ce qui fait que tu as eu quelques habitués qui t'ont demandés de te retrouver à un endroit pour que tu leur en vende. Tu as fais quelques ventes jusqu'à 19h30 avant de revenir chez toi. Dolce t'a envoyé un sms elle aussi, elle avait besoin de sa dose. Tu lui a donné rendez-vous chez toi, ce qui est assez rare. Elle ne veux pas aller dans le bar près de chez toi, parce que selon elle, il y a des hommes bizarres là-bas. Tu as accepté, parce qu'elle est une bonne cliente. Tu arrives chez toi et te sors une bière. Tu l'ouvres et boit un peu, te dirigeant vers ta chambre. Tu ouvres ton armoire et change de t-shirt. Celui que tu portais était pleins de poudre blanche. Tu retournes dans ton salon et te poses devant une émission en l'attendant. La sonnerie se met vite à sonner. Tu finis ta bière d'une traite avant de te diriger vers la porte. Tu ouvres et aperçois la belle blonde que tu attendais. « Salut. » Tu la laisses entrer avant de fermer la porte derrière elle. « Alors, on vient demander sa dose au connard? » Tu plaisantes avec elle, avec son dernier sms. Elle t'a insulté, mais cela ne t'a pas gêné parce que c'est la vérité. Vous vous amusez entre vous. « Tu veux boire un truc avant que je te donne l'objet de tes désires ? » Tu lui adresses un petit sourire en coin.

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« Adam m'attend pas pour diner ce soir, je sors avec Pimp. » Je venais d'arriver chez Adam après une dure journée de travail. Il faut dire qu'entre mon stage chez le Docteur Powell et les cours à l'université, je n'avais pas une minute pour me reposer. Ce soir j'étais bien décidée à me faire planer pour bien décompresser. J'avais contacter mon dealer quand j'étais dans le taxi, il m'avait proposer de passer prendre mes stupéfiants chez lui. Chose que j'acceptais naturellement, je n'avais pas envie de le retrouver dans le bar en bas de chez lui où j'avais déjà faillit me faire violer trois la même soirée. Je troquais ma robe et mes talons compenser contre une paire de jeans, des ballerines et un débardeur simple, déposais mes affaires puis sortit de la villa. Le trajet était plutôt long mais il en valait la peine. Ce que Jeffrey vendais était mille fois mieux que ce que tous les dealers de Summer Streat avaient. Une fois en bas de l'immeuble de ce dernier, je me garais puis sortit de ma jolie mercedes rouge. Je passais une main dans mes cheveux et le refermais correctement avant de m'engouffrais dans l'immeuble. Ce quartier n'avait rien des endroit que je fréquentais d'habitude. Qu'est-ce que je ne ferais pas pour de la bonne coke. Je soupirais en sonnant chez Jeff puis attendais que ce dernier m'ouvre la porte. « Salut. Alors, on vient demander sa dose au connard? » J'esquissais un sourire voyant tout de suite l'allusion à mon SMS de cet après midi. Jeffrey n'avait rien des gros dealers type du coin. En fait il était même plutôt mignon. Mais ce n'était pas mon genre de mec. « Bonsoir. Eh oui faut croire que j'ai besoin de toi. » Oh ironie quand tu nous tiens. C'est à des moment comme ça que je comprend pourquoi j'adorais étudier le registre satirique au lycée. « Tu veux boire un truc avant que je te donne l'objet de tes désires ? » Depuis quand Jeffrey était courtois comme ça ? En fait il y a deux possibilités : soit il avait quelque chose derrière la tête, soit il avait quelque chose derrière la tête. « Comment refuser une invitation de Jeffrey Millers ? » Je souris en entrant chez lui. « Sert moi la même chose que toi. Ah et j'oubliais j'ai apporter l'argent que je te devais. »

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Dolce & Jeffrey

Ta vie de dealer est beaucoup plus active dans cette nouvelle ville. Il faut dire que Santa Barbara est une plus grande ville que Sligo et tu es aux États-Unis, l'endroit de tout les plaisirs. Puis ton boulot de mac t'aide aussi à payer le loyer. Tu as plusieurs clients par jour, des jeunes qui veulent essayer, des habitués et des personnes qui sont totalement dépendants, comme toi d'ailleurs. Enfin, depuis ton séjour en prison, tu t'es calmé de ce côté-là. Tu as dû passer six mois sans drogue, ce qui fut vraiment dur. Mais maintenant, tu pouvais te droguer, sans trop en abuser. Tu attends Dolce chez toi. Tu es assis sur ton canapé, devant une émission de télévision qui ne t'intéresses pas. Tu bois ta bière. La sonnette de ta maison fini par sonner et après avoir fini ta bière, tu vas ouvrir la porte à ton invité. Tu la charrie légèrement sur  le sms qu'elle t'a envoyé quelques heures auparavant. Dolce est une très belle femme mais voilà, elle est riche. C'est ce qui t'amuses chez elle, c'est une petite fille à papa qui se drogue. C'est le genre de choses très rare. Tu ris à sa réplique avant de fermer la porte derrière elle. Tu lui proposes de boire un coup. Non pas que tu sois devenu courtois, tu as juste bien envie d'associer boulot et plaisir. Maintenant qu'elle est là, autant qu'elle reste un petit moment. « On ne refuse jamais une de mes propositions. » Tu souris, te dirigeant vers la cuisine, l'entendant de demander de lui servir la même chose qu'à moi et ajouter qu'elle t'as apporté l'argent qu'elle te devait. Tu aimes faire des affaires avec elle, tu sais qu'elle paye toujours, même en ayant des jours de retard. Petite fille à papa qu'elle est, elle a de quoi payer. « Ok alors deux martini. » Tu fouilles dans tes placards et prépares les boissons, la laissant s'installer. Tu sais qu'elle ne restera pas debout au milieu de ton salon, ce n'est pas une coincée. Tu finis vos boissons et les ramènes. Tu t'assois à ses côtés et lui donne un verre. « Alors, tu veux quoi? » Dolce est une habituée, pas du genre à hésiter sur ce qu'elle veut, comme les petits jeunes que tu fournis parfois.

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Je me posais sur le canapé de Jeffrey sans qu'il ne m'y invite explicitement. Les bonnes manières ce sera pour plus tard, hein. Mais bon cela ne m'empêcha pas de m'asseoir avec le plus d'élégance possible c'est à dire le torse bombé et les jambes croisées. J'étais une Bass tout de même. « Ok alors deux martini. » Je me passais une main dans les cheveux puis lançai au jeune homme: « Depuis quand tu prépares des cocktails aux gens toi? Je vais finir par prendre la confiance et croire que t'es amoureux de moi, hein. » Je souris à ma propre réplique. Josh amoureux ? C'était impossible. C'était l'un des mecs les plus froids que je connaissais. Et le fait qu'il était un mac laissait clairement paraître que c'était le genre de gars qui prenait les filles pour des objets. Il avait surement été blessé par une salope dans le passé au point d'en vouloir à toute la gente féminine - qui je précise ne lui était pas indifférente. Mais peu importe, il était de bonne compagnie, donc je me fichais un peu du reste. Jeffrey entra alors dans le salon me sortant de mes profondes réflexions et me tendis mon verre. « Alors, tu veux quoi? » La réponse était claire. « Ce que tu as de plus fort. » Je me mis plus à l'aise sur son canapé en sirotant une gorgée du martini qu'il m'avait servit attendant que les vannes sur les gosses de riches fusent. Habituellement c'était à ce moment qu'il me reprochait de me droguer pour oublier mes pseudos problèmes de gosses de riches alors que je pouvait tout me permettre grâce à l'argent de mes parents. La vérité était qu'il ne savait rien de moi, comme toute la population de la ville. C'est pour cette raison que je faisait en sorte que personne ne sache que je me défonçait régulièrement la gueule.

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Dolce & Jeffrey

Tu l'avais laissé entrer, avant de préparer de quoi vous mettre dans une bonne ambiance. Des martinis. Elle s'était fait un plaisir de te charier sur le fait que tu faisais des cocktails. C'est vrai que c'est rare, mais tu en as marre des bières et du whisky. « Oh tu sais bien que je suis dingue de toi voyons. » Tu entres dans son jeu. Tu ramènes par la suite vos verres puis tu t'assois à ses côtés sur ton canapé. Elle n'a finalement pas opté pour son jean, mais pour une tenue un peu plus sexy qui n'est pas désagréable à regarder. Tu bois un peu de ta boisson avant de lui demander ce qu'elle veut. Tu te met à rire, instinctivement, lorsqu'elle te dit qu'elle veut ce que tu as de plus fort. « La fifille à son papa veut se défoncer un max pour oublier qu'il ne veut pas lui acheter le dernier sac à la mode ? » Ce genre de femmes t'as toujours fasciné. Elles ont toujours ce qu'elles veulent, mais ne sont jamais contente. Toujours à ce plaindre et à faire les boutiques. C'est vraiment un truc de femmes ça, le shopping ou de gay. Dans tout les cas, tu ne comprends pas quel est le plaisir des femmes d'aller dans des boutiques pour essayer des vêtements que le plus souvent, elles n’achètent pas. Le lèche vitrines qu'elle appellent ça. N'importe quoi. Tu bois à nouveau avant de poser le verre sur la table du salon. « Je ne peux pas te laisser dans une telle détresse, je reviens. » Tu lui adresses un petit sourire amusé avant de te lever et de te diriger vers ta chambre. Tu fouilles dans le troisième tiroir de ta commode et trouve tes sachets. Tu en prends un et retourne vers Dolce. Rien que son prénom fait bourges. Tu lui lances avant de t'asseoir. « C'est la meilleure que j'ai. » Tu sais que c'est la meilleure, parce que tu l'as déjà testé. Tu les testes toutes avant de les vendre. « Un petit rail ? Histoire de la tester. » Elle sait sûrement que pour toi, c'est déjà chose faite mais c'est une proposition que logiquement, elle ne refusera pas. Rien de mieux que du shit et de l'alcool pour passer une bonne soirée. Quoi que si, il y a le sexe aussi. Les trois mélangés et une nuit banale devient magique.

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Après m'avoir fait une déclaration d'amour des plus romantiques, les vannes fusèrent. Il croyait vraiment que c'était le genre de problèmes que j'avais avec mes parents? Mon père ne pouvait pas refuser de m’acheter des fringues. J'avais sa carte de crédit. Jeffrey et moi n'étions vraisemblablement pas du même monde. « Ouais même que figure toi il à refuser que je me teigne les cheveux en rose fushia. Il est inhumain, je le déteste, du coup ben j'ai fugué de chez moi. » Commentais-je d'un air dramatique en sirotant ma boisson. Il s’éclipsa sur une dernière note ironique pour aller chercher la marchandise. Toute émoustillée de pouvoir enfin me faire planer, je finis mon verre de martini en un rien de temps. « C'est la meilleure que j'ai. » Je lui faisais confiance. Il ne m'avait jamais refilé de la mauvaise dope. Les stupéfiants qu'il revendait étaient comme les pâtisseries de chez Pierre-Hermée, les meilleurs. Il me proposa de tester la marchandise. « Comment refuser ? » J'acceptais naturellement puis me penchais sur la table du salon pour l'observer préparer les rails de cocaïne qui allaient bientôt se retrouver dans nos narines. Je lançais mes cheveux à l'arrière impatiente de pouvoir enfin goûter à l'ojet de mes convoitises. Cette soirée commençais bien. Rien qu'à l'idée de pouvoir planer, je ne pensais ni à mes parents, ni à Jayden, ni à l'accident... Puis l'envie de continuer à jouer avec Jeffrey. Je passais ma main parfaitement manucurée autour de ses épaules et me penchais un peu plus de façon à ce qu'il ait une jolie vue sur le décolleté plongeant de mon débardeur. « Ma théorie s'est avérée être vraie. Tu m'obliges pas à tout de suite me barrer avec la marchandise. Je suis sûre que t'invite jamais tes clients chez toi. » Je pouffais de rire. J'en avais trop fais c'étais ridicule mais ça aurait surement le mérite de le faire rire autant que moi.  

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Dolce & Jeffrey

Tu n'as jamais vraiment cherché à connaître Dolce, c'est une cliente, elle est sympa, elle t'amuses et en plus elle est sexy. C'est tout ce que tu as à savoir sur elle. Tu l'as rejoins avec vos verres et bien sûr, tu t'es fais un plaisir de te moquer d'elle. Ce qui te fais rire chez elle, c'est qu'elle entre dans ton jeux. Elle te racontes qu'il a refusé qu'elle se teigne les cheveux en rose fuchsia. Tu sais que c'est totalement faux ce qui t'amuses. Tu souris et rajoute que tu ne peux pas la laisser dans une telle détresse. Tu vas donc dans ta chambre prendre un sachet puis tu retournes vers elle. Tu lui dis que c'est la meilleure que tu as et tu lui proposes de la tester, ce qu'elle accepte. Tu te penches donc afin de commencer de faire deux lignes. Tu es concentré lorsque tu sens sa main passer sur tes épaules. Un  sourire amusé apparaît sur tes lèvres. Tes yeux se posent directement sur son décolleté plongeant qu'elle met bien en vue. Tu sais très bien qu'elle le fait exprès. Elle te dit que sa théorie s'est avérée être vraie, que tu ne l'obliges pas à se barrer avec la marchandise et qu'elle est sûre que tu n'invite jamais tes clients chez toi. Tu ris doucement avant de tourner la tête vers elle. « C'est vrai, j'invite que les belles blondes. » Tu poses ta carte à côté du rail et passe ton doigt sur la bordure de son décolleté. « Surtout quand elles ont de l'argent et une grosse poitrine. » Tu lui souris avant de tourner à nouveau la tête. Tu ne fais que t'amuser avec elle. Tu ne passes pas par quatre chemins pour lui dire que tu la trouves attirante. Tu fouilles dans la poche de ton jean et sors ton portefeuille. Tu prends un billet de 5$ et le roule. Tu sniffes la première ligne et te laisses tomber en arrière sur le canapé. C'est vraiment la meilleure que tu as. Tu lui tends le billet afin qu'elle puisse se faire plaisir à son tour. Tu la regarde faire la même chose que toi. Tu passes ta main sur son dos, passant ta langue sur tes lèvres. Tu sais ce que tu veux et tout le monde sait que tu le montre lorsque quelque chose te donne envie.

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Jeffrey se pencha pour tracer les deux rails de poudre blanche en profitant de la jolie vue que lui offrait Dolce. La belle blonde jeta ses cheveux en arrière quand ce dernier eut terminé. Il traça la bordure de son décolleté avec son index lui déclarant qu'effectivement il n'invitait pas tout le monde chez lui. Il sourit en ajoutant qu'il n'invitait que les jolies blondes avec une grosse poitrine qui avaient de quoi payer sa marchandise. C'était clair, Jeffrey voulait la baiser. Et elle qui croyait que ce n'était qu'un jeu au début. En tant normal Dolce aurait giflé n'importe quel homme qui se serait comporté ainsi avec elle. Mais non seulement d'un côté elle avait peur de Jeffrey et de l'autre il ne la repoussait pas vraiment peut être même qu'il l'attirait. Car premièrement, il était physiquement avantagé et deuxièmement il était vraiment charismatique. Eh bien oui, Dolce avait toujours bien aimé les mauvais garçons. Dolce observait le jeune homme rouler son billet de cinq dollars et consommer la substance illicite qu'il avait préalablement déposer sur la table en attendant impatiemment son tour. Quand Jeff finit de se faire plaisir, Dolce se cambra afin d'inspirer le rail de cocaïne qui lui était destiné sentant la main de Jeffrey faire pression sur son dos. Malheureusement pour la jeune femme en se penchant sa jupe était un peu trop remontée. Elle s'arrêta pour la redescendre mais en se recambrant, sa jupe remonta de nouveau. Tant pis, pensa-t-elle en commençant à sentir la drogue faire effet sur elle. Comme d'habitude elle avait trop vite finit sa ligne. Elle se laissa retomber sur le canapé en faisant mine de bouder. « Ça ne peut vraiment qu'être la meilleur que tu as. » Fit-elle en penchant sa tête vers l'arrière comme pour que la poudre ne s'échappe pas de son nez. Elle fixa de nouveau son hôte en faisant glisser son doigt sur son torse. « J'en veux encore Jeff. » Bien sur, elle comptait payer tout ce qu'elle consommerait et ça Jeff le savait.

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Dolce & Jeffrey

Même si c'était rare que quelqu'un vienne chez toi, tu savais accueillir tout de même. De plus, tu ne laissais pas n'importe qui pénetrer dans ton entre. Tu vous avez servit des martinis avant d'aller chercher la drogue. Tu l'avais quelque peu charrié, comme à chaque fois que vous vous voyez. Dolce était très différente de toi. Elle n'avait même pas besoin de travailler pour avoir de l'argent alors que toi, tu avais besoin de deux boulots pour bien vivre. Tu avais fais deux rails histoire de bien débuté la soirée. Tu lui avais fais comprendre par la suite qu'elle ne te rendait pas indifférente avant de sniffer la poudre. Tu t'étais laissé tomber contre le canapé et lui avais passé le billet. Tu la regardes sniffer à son tour pendant que ta main passe sur son dos. Tu la regardes baisser sa jupe qui remonte à chaque fois. Cela te fais sourire. Elle finit par sniffer sa ligne. Tu sais qu'elle adore, elle n'a même pas besoin de te le dire. Quant à toi, le bien être commence à prendre possession de toi. Elle se laisse par la suite retomber sur le canapé comme tu l'as fais quelques minutes avant en te disant que ça ne peut vraiment qu'être la meilleure que tu as. Tu la regardes tandis que tu as laissé ta main derrière son corps. Elle tourne la tête vers toi et te dis qu'elle en veux encore. « Hm, il faut le mériter pour en avoir plus. » Tu la provoques, tu es comme ça. Tu vas dans tout les cas lui donner ce qu'elle veut, mais tu as envie de t'amuser avec elle aussi. Ta main monte et descends sur son dos tandis que tu ne la lâche pas du regard. Tu vois dans ses yeux que la poudre fait doucement effet. Tu n'as jamais connu quelque chose d'aussi apaisant et bon que la drogue. Même le sexe n'est pas à la hauteur même si c'est quelque chose de très agréable aussi.

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Dolce venait d'inhaler un rail de poudre. Elle commençait à sentir la drogue faire effet sur elle. Elle sentait qu'elle planait et elle devenait euphorique. Elle se sentait sur un petit nuage et en oubliait même le monde extérieur, elle était bien. Elle n'avait envie que d'une chose : en avoir plus. Elle voulait être encore plus défoncée pour être encore plus heureuse. Et il n'y avait qu'une seule personne capable de lui donner ce qu'elle voulait, c'était Jeffrey qui d'ailleurs tenait bien mieux à la cocaïne qu'elle. Alors que la main de ce dernier lui caressait le dos, il lui déclara qu'elle devait mériter d'en avoir plus. Oui il profitait clairement de l'état de la belle blonde pour la mettre dans son lit. Droguée mais pas dupe, Dolce savait ce qu'elle avait à faire mais elle comptait continuer de jouer avec le jeune homme un instant. Elle pivota donc de manière à se retrouver à califourchon sur Jeffrey puis elle se mis à jouer avec l'un des boutons boutons de sa chemise. « Je dois faire quoi pour mériter une autre dose ? » Sa voix était suave et un tantinet sensuelle. Elle laissa ensuite échapper un rire cristallin avant de coller sa bouche à l'oreille de son hôte. « Je ferais tout ce que tu veux. » Oui elle était accro. Plus elle se droguait plus elle en voulait et elle était prête à tout pour ne serait-ce qu'une seule autre ligne. Elle plaqua ensuite ses lèvres chaude juste sous l'oreille du dealer et elle commença à descendre vers son torse au fur et à mesure qu'elle déboutonnait sa chemise.

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Dolce & Jeffrey

Tu venais de vous faire deux rails et désormais, tu avais pris la tienne. C'est au tour de la belle blonde. Elle sniffe tandis que tu la regarde. Tu la laisses faire, parce que au fond, c'est pour ça qu'elle est venue. Elle fini par se reposer contre le canapé. Tu la regardes. La drogue commence à faire effet sur toi et sur elle aussi à ce que tu vois. Elle t'en demande plus, elle veut être totalement défoncée. Tu l'as comprend, la drogue, il n'y a rien de mieux. Le meilleur c'est quand tu entres dans un état second, plus rien ne t'atteins. Tu veux jouer avec elle, alors, tu lui dis qu'elle doit le mériter si elle en veut plus. Tu sais qu'elle entrera dans ton jeu, parce qu'elle est défoncée et parce que personne ne te résiste, c'est comme ça. Elle se met sur toi, à califourchon. Tu poses automatiquement tes mains sur ses hanches, ne la quittant pas des yeux. Tu la regarde jouer avec un bouton de ta chemise tout en te demandant ce qu'elle doit faire. Sa voix te fais comprendre qu'elle est prête à faire ce dont tu désires. Son rire par contre, te prouve bien qu'elle est défoncée, c'est limite encore plus excitant. Tu fais semblant de réfléchir tandis qu'elle te murmure à l'oreille qu'elle ferrait tout ce que tu veux. Ok, elle sait te parler la blonde. «  Prouve moi que tu le mérites. » Tu sens ses lèvres contre ton cou qui descendent progressivement. « Montre moi de quoi tu es capable. » Tu murmures, passant tes mains dans son dos, sous son t-shirt. Tu la laisses faire. Si elle veut plus de drogue, il va falloir te convaincre.