STAFF + LECHES NOUS LES PIEDS« Rafael M. Da Cunha » pseudo : FallenAngel.
célébrité : Cody Saingnue.
messages : 391
je suis ici depuis : 08/04/2014
| Sujet: Jeffrey ▬ J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment,Suffisamment pour y penser tout l'temps. Mer 9 Avr - 13:11 | |
| Christian Jeffrey Millers Un truc que j'ai appris, c'est qu'on ne doit pas regarder en arrière. Le passé est mort et enterré. On à rien a gagner à vivre dedans. | NOM COMPLET ☇ Christian Jeffrey Millers. SURNOMS ☇ Jeff et seulement Jeff. Il déteste les surnoms. AGE ☇ 21 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ☇ 5 mai 1992 à Canberra. ORIGINES ☇ Australien. NATIONALITÉ ☇ Américain. MÉTIER/ÉTUDES ☇ Dealer et Mac. ORIENTATION SEXUELLE ☇ Hétérosexuel. STATUT ☇ Il se considère comme célibataire depuis qu'il a abandonné sa petite amie en Irlande. STATUT MONÉTAIRE ☇ Il fait avec ce qu'il a. TROIS QUALITÉS ☇ Observateur - Mystérieux - Séduisant - Fascinant TROIS DÉFAUTS ☇ Impulsif - Têtue - Solitaire - Trop Franche - Égoïste. GROUPE ☇ One's past is what one is CÉLÉBRITÉ ☇ Jack O'connell CRÉDITS ☇Tumblr. |
Il est dealer (+) Il vivait en Irlande avant de venir en Californie (+) Il a fuit la californie pour sortir de la vie de sa petite amie (+) Il est solitaire (+) Il est très jaloux (+) Il a fait plusieurs fois de la prison (+) Il est mac et a cinq prostituées sous ses ordres (+) Il a un tattouage en forme de croix sur la côté gauche et un autre tatouage sur l'épaule (+) Il considère ne pas avoir de parents parce qu'ils l'ont abandonnés très tôt (+) Il a toujours vécu dans des familes d'accueils jusqu'à ce que personne ne veuille plus de lui (+) Il se fiche de ce que pensent les autres de lui (+) C'est un courreur de jupon, surtout maintenant, il essaye d'oublier sa copine (+) Il s'énerve très vite et il est violent (+) Il boit (+) Il fume (+) Il se drogue (+) Il est totalement dépendant de la drogue (+) Il a peur de s'attacher (+) Il est solitaire (+) Il est toujours fou amoureux de sa copine d'irlande (+) Il a laissé mourir un de ses amis (+) Il a un caractère dur et cache tout (+) Il avait changé grace à sa copine mais il a laissé toutes ces nouvelles convictions (+) Il ne veut pas connaître ses parents (+) Il est fils unique, enfin à ce qu'on lui a dit (+) Il est hétérosexuel (+) Il n'hésite pas à se servir d'une arme(+) Il n'a peur de rien (+) Il n'a de pitié pour personne (+) Il a un côté fascinant qui plait aux femmes (+) Il vit dans un petit appartement dans un quartier non fréquentable (+) Il ne veut plus que quelqu'un s'attache à lui (+) PRÉNOM/PSEUDO ☇ FallenAngel, Sara pour les intimes. AGE ☇ 16 ans en juillet. PAYS/RÉGION ☇ Auvergne. FEQUENCE DE CONNEXION ☇ 5/7 jours. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTE ? ☇ Personne inventé. COMMENT AS-TU TROUVE LE FORUM ? ☇ Je me le demande tiens. COMMENTAIRES/SUGGESTIONS ☇ Rien à dire, c'est parfait. ON EST BAISABLE ? ☇ BIEN SUR QU'ON EST BAISABLE WESH ! PETIT MOT POUR LA MIFA ☇ JE VOUS BAISES CODE DU RÈGLEMENT ☇
Dernière édition par C. Jeffrey Millers le Lun 14 Avr - 17:50, édité 7 fois |
|
STAFF + LECHES NOUS LES PIEDS« Rafael M. Da Cunha » pseudo : FallenAngel.
célébrité : Cody Saingnue.
messages : 391
je suis ici depuis : 08/04/2014
| Sujet: Re: Jeffrey ▬ J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment,Suffisamment pour y penser tout l'temps. Mer 9 Avr - 13:12 | |
| Tout est dans le présent. Mais j'ai ces rêves. Dans ces rêves, rien n'est réel. rien n'est solide, tout n'est que pure fantaisie. N'importe quoi. Une illusion Tu es assis sur le petit lit où tu as dormi pendant neuf mois. Tu lèves le regard, tu regardes autour de toi. Cela fait neuf mois que tu es dans cette cellule, tu la connais par cœur. Soudain, le bruit des barreaux de la cellule se fait entendre. Tu tournes la tête et vois deux officier avec un homme ne costard. « Aller Millers, t'es libre. » Tu encres ton regard dans le sien avant de te lever. Ton visage n'a aucune expression. Tu les suis en direction de la sortie. Vous descendez les grands escaliers sous les regards des autres détenus. Certains te font des signes de têtes, d'autres ont un regard remplit de haine parce qu'ils en ont encore pour longtemps eux. Vous arrivez à la sortie. Ils te donnent tes affaires. Ta veste, que tu enfiles, ton téléphone que tu avais laissé. Ton paquet de clopes, ton portefeuille. Tu leurs jettes un regard à chacun avant de passer le portail qu'ils viennent d'ouvrir. « On se revoit dans quelques mois Millers. » Tu ne prends même pas la peine de le regarder. Les mains dans les poches de ta veste, tu marches. Tu es enfin libre, mais tu as l'impression d'entrer dans un territoire inconnu, comme à chaque fois que tu sors de prison. Tu regardes autour de toi et te diriges vers la ville de Sligo. La prison se situe à quelques kilomètres de la ville, mais ce n'est pas cela qui te fais peur. Tu sors ton paquet de clopes et en met une entre tes lèvres. Tu fumes, marchant en direction de la ville. Quelques voitures passent à tes côtés mais, ce n'est pas pour autant que tu leurs demande de te prendre. Personne ne prendrait un ancien taulard, à part un con. Tu arrives à ta destination, une trentaine de minutes après et un mal de jambes. Tu marches dans les rues de Sligo, ton regard se pose sur tout ce qu'il peut. Tu as l'impression que ça fait des années que tu n'as pas fréquenté ces rues. Tu tournes la tête vers la vitrine de'une boutique. Tu vois ton reflet. Tu as les cheveux très court, une barbe qui date de quelques jours. Des cernes sous les yeux, les traits de ton visage bien accentués et ton visage pâle. Tu reprends ta balade, si on peut appeler ça comme ça. Tu ne sais pas où aller. Tu n'as plus de maison, plus rien. Ta famille d'accueil n'a plus voulu de toi dès ton entrée en prison. Tu n'as plus le choix, tu dois aller voir Talhia. Tu sais qu'elle ne t'accueillera pas les bras ouverts. Elle est venu plusieurs fois pour te voir en prison. Les premières fois, tu as accepté de la voir, puis tu as espacé les visites jusqu'à ne plus les accepter. Tu ne voulais pas qu'elle passe son temps à venir te voir mais qu'elle continue sa vie sans toi. Elle l'avait surement mal pris. Tu vas donc en direction de son immeuble, par chance il n'est pas très loin d'où tu te trouves. Tu arrives dans sa rue et l'apperçois devant son immeuble avec des personnes, surement ses amis. Tu t'approches un peu mais reste quand même éloigné d'elle. Tu l'entends rire, tu la vois sourire. Cela faisait longtemps que tu ne l'avais pas vu comme ça, que tu ne l'avais pas entendu rire. Tu la déshabille du regard. Elle est toujours aussi belle. Pourquoi elle ne le serrait plus ? C'est toi qui était en taule, pas elle. Elle ouvre la porte de son immeuble et laisse entrer ses amis. Tu devrais aller la voir, lui montrer que tu es sortis de prison mais, tu ne bouges pas. Tu la regardes pénétrer dans le bâtiment et disparaître de ton champs de vision. Tu souffles et fais demi-tour. Tu ne peux pas aller la voir, revenir dans sa vie comme ça, comme une fleur. Tu l'as rejeté pendant des mois, et maintenant tu veux la revoir ? Non, tu ne dois pas faire ça. Tu ne dois pas revenir dans sa vie. Tu n'es qu'une source de problème ambulante. C'est le mieux pour elle, c'est le mieux pour vous. Tu repars, les mains dans les poches. Tu la quittes, tu l'abandonnes, sans te retourner. Tu ne lui as même pas dis au revoir, mais tu penses prendre la meilleure décision.Maintenant que tu veux quitter Sligo, que tu veux partir loin, il faut que tu trouves un moyen pas chère d'y aller. Alors, tu traines, à la recherche de quelqu'un qui voudra bien t'emmener loin d'ici. Tu te retrouves face à une bombe d'essence où tu vois deux camions garés. C'est une bombe d'essence qui fait boutique et également restaurant. Tu entres dans le batiment et la serveuse te salue. Tu apperçois deux hommes assis au bar. Ils sont très musclés et ressemblent à des routiers. Tu t'assois à côté d'un des deux hommes. « Une bière. » Tu jettes un regard à la serveuse qui fait de suite ta boisson. Elle te sers et tu la remercies. Tu bois quelques gorgées avant de tourner la tête vers les hommes qui regardent la petite télévision. « Vous allez où? » Ils tournent la tête vers toi, se demandant surement à qui tu parles. Ils comprennent rapidement que c'est à eux que tu t'adresses. « On va sur la côte. » Tu hoches la tête, approuvant leur réponse. Si tu vas sur la côte, tu pourras prendre le bateau pour l'Amérique et dire adieu à ton ancienne vie pour toujours. « Un de vous est d'accord pour m'emmener avec lui ? J'ai de quoi payer mon voyage. » Ils ont surement l'habitude d'entendre ce genre de choses, tu n'es pas le premier a avoir besoin d'un transport. « Moi je t'emmènes, mais je veux 50 balles, et tu payes toi même ta bouffe. » Tu regard son plat, il est vide. Il a fini, il va repartir. Tu bois d'une traite ta bière. « Ca me va. » Tu poses un billet sur le comptoir avant de le suivre dans son camion. Tu t'assois sur la banquette et il se met à rouler en direction de la côte. « Tu t'appelles comment ? » Tu n'as pas envie de sympathiser avec lui, mais si vous devez passer plus de six heures dans le même véhicule, il va falloir que tu fasses des efforts. « Jeff. » Il acquiesce d'un hochement de tête. « Et toi? » Il reste concentré sur la route. « Barney. » Tu acquiesce également d'un signe positif de la tête. Tu ne vas pas lui mentir en lui disant que tu es enchanté de le connaître, parce que ce n'est pas le cas. « Et pourquoi tu veux aller sur la côte? » Il tourne la tête vers toi, te questionnant du regard. Si tu veux qu'il t'emmène, il faut que tu réponde à ses questions. « Je vais en Amérique. » Il se met à sourire, tu ne comprends pas pourquoi. « Le rêve Américain, comme tous les jeunes. » Il secoue la tête, comme pour dire que les gens de ta génération sont débiles. Rêve Américain ? Pas vraiment non. Tu ne lui réponds pas, tu ne veux pas relancer la discussion. Tu poses ta tête contre la vitre et regardes le paysage défiler. Bientôt, tu seras sur un bateau en direction d'un autre continent, bientôt, tu ne pours plus faire demi-tour. Tu arrives enfin sur la côte. Le chauffeur se gare. Tu lui jettes un regard, il te sourit. « Merci. » Tu fouilles dans ta poche et lui donnes 50 euros. Puis, tu sors du camion. Tu ne le reveras plus. Il était gentil, mais, tu n'as pas le temps de t'attacher aux gens, tu en as même pas envie. Tu mets les mains dans les poches de ta veste et te balades sur le port. Il a l'air ancien. Un vieux port d'Irlande. Tu entres dans un bâtiment. Tu te diriges vers la bonne femme qui est à l'accueil. « J'aimerais prendre le premier bateau qui va aux Etats-Unis. » Elle hoche la tête et te montres le prix du voyage. Il est cher, mais il en vaut le coup. Tu la payes, avant de prendre ton tiquet et de ressortir. Tu as encore dix minutes à attendre. Tu décides donc d'aller dans un bar où tu demandes à acheter une bouteille de whisky. Tu ressors de cet endroit, une bouteille à la main. Tu t'assois près de l'eau, une clope à la main et ta bouteille déjà bien entamé sur le côté. Tu entends le bruit d'un bateau, surement le signe qu'il est prêt à partir. Tu finis ta bouteille, ta clope avant de te diriger vers l'entrée du bateau. Tu montres ton tiquet à un homme. « Bagages ? » Tu lui fais un signe négatif de la tête avant de monter sur le bateau. Ce n'est pas un énorme bateau, mais il est quand même assez grand. C'est loin d'être un bateau de croisière. Tu restes sur le ponton, regardant le rivage tandis que le bateau commençait son chemin en direction des Etats-Unis. Le chemin va être long, très long. Tu espères qu'il y ai un bar dans ce bateau, où tu pourras boire. Tu soupires et te met à la recherche d'un bar. Tu finis par en trouver un. Il est petit, il n'y a que deux personnes, mais c'est déjà ça. Il y a un homme assez vieux et une femme assis au comptoir. Tu t'assois entre eux. « Un whisky. » Tu poses tes mains sur le comptoir en attendant que le barman te serves. Tu tournes la tête vers le vieux qui boit un Ricard, puis tu tournes la tête vers la jeune femme qui te regardes. Elle te sourit. Tu remercies et payes le barman avant de boire un peu de ton verre. Tu sens une main passer sur ton épaule. Tu tournes la tête et vois la jeune femme te faire un regard que tu comprenais bien. Tu n'allais pas te priver de cela. Tu bu cul-sec ton verre avant de la suivre dans un endroit plus intime. Tu es dans ta voiture, tu roules en direction d'une rue que tu connais bien de Santa Barbara. Tu lèves le regard et encres ton regard dans celui d'une de tes protégées, si tu peux appeler ça comme ça. C'est surtout ton gagne pain. « Tu m'envois un message dès que tu es à l'hôtel. » Tu reposes tes yeux sur la rue. « Oui je sais, je te donnes l'adresse et l'heure où il faudra que tu me récupères. » Tu hoches la tête. Elle a bien compris. En même temps, cela fait trois mois qu'elle travaille pour toi. Tu te gares sur le bord de la route et regarde la rue. C'est surement la rue la moins fiable de la ville, mais c'est la rue où tu as tes habitudes, où tu travailles. Tu coupes le moteur et sors de la voiture. Elle fait de même. Vous vous retrouvez sur le trottoir. Elle te regarde, comme pour te demander quoi faire. « Aller, au boulot, l'argent n'apparait pas par magie. » Tu lui parles sèchement, mais tu ne dois pas être sympa avec elle. Tu la protèges, tu la surveilles, oui mais tu ne l'apprécies pas. Elle ne dit rien et s'en va dans sa petite tenue légère, à la recherche d'un client. Tu la regarde s'éloigner de toi avant de partir à l'opposé. Tu dois toi aussi travailler. Tu te diriges vers une boite que tu connais bien. Tu te colles au mur, près de la file pour entrer dans le club. Tu regardes les personnes défiler devant toi. Un jeune homme s'arrête devant toi. Il doit avoir dix huit ans, maximum. « Je peux faire quelque chose pour toi ? » Il te regarde, ne sachant pas vraiment quoi dire. « Je veux de la drogue. » Tu lèves les yeux au ciel. « Ca je sais que tu ne viens pas pour m'inviter à danser, mais tu veux quoi? » Il n'a pas l'air de s'y connaître. C'est surement le plus vieux de son groupe. Tu les connais bien ce genre de groupe. Ils sont jeunes et veulent essayer de nouvelles choses. Tu ne peux pas leur en vouloir, tu étais pareil il y a quelques années, avec un peu plus de confiance en toi. « Je ne sais pas.. » Tu sais que tu n'arriveras pas à lui faire dire ce qu'il veut, alors tu fouilles dans tes poches et sors un sachet de poudre blanche. « 150 $. » Il te regarde surpris. « C'est cher. » Tu secoues la tête. « Peut être, mais c'est la meilleure. » Il sort son portefeuille et te donnes tes 150 $. Tu lui donnes le sachet. Il reste devant toi. Tu lui fais un signe de la tête de dégager, ce qu'il fait dans la minute qui suit. |
|