"au début je voulais un  berger allemand  pour me protéger quand mon frère est rentré en prison, et j'ai craque sur lui c'était aussi un berger allemand mais il avait tellement peur des être humains surtout des hommes que je me suis reconnu en lui . Je suis allée le voir chaque jours pour que lui me connaisse et au bout d'une semaine le refuge m'a appelé il pleurer quand j'étais pas et j'ai craqué . Il me protège a sa manière et moi je lui apprends a avoir confiance" Pimprenelle se souviendrai toujours du premier jour ou elle l'avait vu dans son box replié sur lui même grognant et pleurant quand quelqu'un s'approchait et finalement tous deux qui étaient malheureux et mal au plus haut point , tous deux avaient réussi a se faire confiance mutuellement et cela durait  encore  et elle n'imaginait plus sa vie sans cette boule de poils , sa vie était maintenant avec lui et même si au de ut c'était dur maintenant c'était que du plaisir pour elle comme pour lui "Whaouu c'est un super métier ca . Tu me m'avais jamais dit , remarque j'ai jamais du te le demander" Elle rigola doucement et posa son regard sur leurs mains qui se tenaient comme si tous deux était en couple et releva la tête en entendant le  nom de son chienKovu? Comme dans le roi lion ? Elle se mot a fredonner la chanson Nous sommes un (We are One) chanson qu'elle adorait et regarda Camille c'est mon dessin-anime préféré" elle se mot a chanter plus fort elle adorait cette chanson pourtant c'était loin de sa vie mais elle adorait ma chanter et cela depuis toute petite . elle regarda Camille pour l'encourager a chanter et rigola de plus  belle un rire franc et joyeux qui était presque communicatif . La jeune femme se leva pour continuer a chanter et dans en même temps " Toi et moi sommes pareil tout comme la terre et le ciel
Une seule famille sous le soleil
Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens
Car dans nos coeurs et le tien ne font qu'un" Elle regarda le serveur qui chantait et dansait aussi , elle était heureuse pour la première fois depuis longtemps

Cam sourit, Cookie et Pimprenelle semblaient être faits l'un pour l'autre alors que Kovu et lui-même étaient très différents. Il s'identifiait un peu à Cookie dans la mesure qu'elle était venue les voir, l'un comme l'autre, tous les jours. « C'est amusant que ton chien et toi vous ressembliez. On dit toujours "tel maître tel chien" mais le mien est mon parfait opposé... » C'est à dire plein de vie, heureux, joueur, câlin, doux, calme,... Toutes les qualités qui manquaient à Camille. Ou qu'il avait enfouies au fond de lui. Au final, Kovu et lui se complétaient à merveille, c'est la raison pour laquelle ils étaient devenus inséparables. Le chien lui apportait la joie de vivre qui lui manquait et en retour Cam comblait le besoin d'affection de l'animal. Décochant un nouveau sourire à la jeune femme en annonçant son métier qui sembla la fasciner, il ne répondit pas. En effet c'était un super boulot et il ne s'en lasserait sans doute jamais. Nouveau sourire lorsqu'elle identifia sans mal la provenance du nom du chien. « J'aimais bien Scar mais j'allais pas appeler mon chien Cicatrice alors j'ai choisi Kovu. J'ai pas l'air mais j'aime encore bien certains dessins animés... Tant qu'il ne s'agit pas de princesses Disney ! » Ah comme il détestait les princesses ! Enfin là n'était pas la question. Il sourit en voyant Pimprenelle se lever et chanter, danser aussi. Tout cela provoqué par le nom de son Goldendoodle. Elle l'invita à l'imiter mais il secoua doucement la tête en signe de refus. Non, il ne chanterait pas. Il lui sourit néanmoins afin de l'encourager à poursuivre sa chanson en espérant ne pas avoir tout gâché en refusant de chanter. Et pourtant il chantait bien mais depuis le diagnostic du cancer de sa mère il n'avait plus jamais utilisé sa voix pour autre chose que parler et n'avait plus touché aux cordes de sa guitare. À cause de la maladie de sa mère, mais également de la sienne, la maladie de Lyme, dont le diagnostic lui avait mis un coup.

Il avait raison Cookie et elle c’était la même histoire ou presque c’était un chien battu , elle l’était aussi il n’avait plus confiance dans les hommes elle aussi mais avait réussie à leur faire plus confiance qu’avant . Elle fit un grand sourire « Comment ça totalement ton opposé? ». Pimprenelle c’était devait pour chanter cette magnifique chanson et continua même si Camille ne s’était pas levé elle avait prit un plaisir immense . Elle s’approcha du serveur lui claque deux bises pour le remercier d’avoir chantait et dansait et posa ses fesses sur sa chaise en regardant Camille avec un grand sourire « J’espère que je ne t’ai pas fait peur ». elle remit ses cheveux en place et regarda son verre « Tu sais Cam' si tu étais pas sorti de prison , je serai quand même venu enfin maintenant sue mon frère et dehors j’aurai du lui mentir mais je serai venu » Elle savait que cela ne servait sans doute pas a grand-chose de lui dire mais elle en avait ressenti le besoin, elle voulait qu’il sache que jamais elle l’aurai abandonner tenant trop à lui et à leur relation. Elle repensa a la phrase sur les Disney et regarda Camille dans les yeux « Tu es comme moi j’ai horreur des princesses avec toutes leurs manières et comme si c’était les plus belles et les meilleures de la planètes déjà que je les déteste en vraie je vais pas les aimer dans des dessins animés » Elle avait toujours déteste ce genre de nanas qui se prenaient pour les reines du monde alors qu’elles n’étaient que des filles a papa et des petasse.
Pimprenelle regarda Camille « Tu dors ou en ce moment ? » , lui proposait de dormir chez elle pouvait être mal interprété mais elle ne voulait pas le voir dormir dans la rue , elle avait assez de place chez elle pour l’accueillir autant de temps que nécessaire .son verre était presque vide mais elle n’allait surement pas reprendre quelque chose tout de suite elle n’était pas assez riche pour boire n’importe quoi et n’importe comment , même si elle travaillait beaucoup d’argent partait dans la drogue
.

Leur conversation était désormais concentrée sur leurs animaux de compagnie, cela facilitait drôlement le dialogue. Camille sourit à la question. « Notre seul point commun c'est l'abandon, autrement il a un caractère totalement différent du mien. », expliqua-t-il en songeant aux nombreuses fois où le chien avait prouvé cette différence entre eux et où cette fameuse différence avait joué en leur faveur pour les rapprocher et les aider. Complémentaires, vraiment, et c'était une chose assez précieuse car rare. Cam rit légèrement, et pour la première fois de la journée, lorsque Pimprenelle se rassit face à lui en s'exclamant espérer ne pas l'avoir effrayé. « Loin de là, c'est juste que ça fait des années que j'ai arrêté de chanter... » Des années, en effet, et pourtant à une époque cela représentait toute sa vie, la guitare et le chant. « Alors, même si tu n'auras pas à le faire, merci. » Nouveau sourire. Il appréciait ce qu'elle avait fait et aurait été prête à faire. Aujourd'hui ce n'était plus nécessaire mais il appréciait le geste. « J'ai une maison à Steams Wharf, grâce au programme de réhabilitation. Je te montrerai si tu veux, et je pourrai te présenter Kovu. » Il s'était rapidement habitué à son nouveau lieu de vie, il appréciait assez et savait qu'avec le temps il s'y sentirait vraiment chez lui. Enfin. Pour la première fois de sa vie il se sentirait véritablement chez lui quelque part. Car il ne faut pas croire que l'appartement où il avait grandi lui avait procuré un sentiment de sécurité et de chez soi, non, loin de là.

La jeune Pimprenelle pouvait parler des animaux pendant des heures et des heures sans s'arrêter. Les animaux ca lui avait sauvé la vie , elle  avait eu des poissons rouge en cachette et des lapins cela lui permettait de s'évader et de ne plus penser à son père . Rire , il venait de rire , un rire magnifique elle fit un grand sourire " Tu as un rire magnifique " Pimprenelle but une dernière gorgée " Oh pourquoi ? je suis sur que tu as une voix magnifique " Pimprenelle était sincère et cela se voyait dans ses yeux, elle chantait depuis toute petite sous sa douche , quand son père venait de l'enfermer dans sa chambre sans lumiére juste son lit et un petite peluche , alors elle chantait des chansons d'amour ou triste mais elle chantait . Pimprenelle fit un grand sourire , il venait de lui proposer de passer chez lui pour voir son chien . Elle ne savait pas quoi répondre oui elle avait envie de venir chez lui de découvrir son univers. Pimprenelle prit sa respiration et fit un magnifique sourire " Avec plaisir , je suis tous les jours disponible Elle fit un petit rire et le regarda dans les yeux , elle se pencha vers lui et l'embrassa doucement sur la joue elle avait envie de le faire depuis le début de la journée et elle avait vu l'ouverture et ne le regretta pas . Elle se rassit et regarda dans les yeux pour voir sa réaction , elle avait envie de l'embrasser mais c'était sans doute trop tôt pour eux deux alors un bisou sur la joue c'était mieux que rien

Le compliment soudain que fit la jeune femme à Camille lui fit d'abord hausser un sourcil, il ne comprit pas de suite, d'ailleurs. Mais il est vrai que jamais il n'avait vraiment rit en sa présence, il s'était toujours contenté de lui adresser ses plus beaux sourires. « Ah ouais ? » sourit-il, réprimant un rire tellement cette affirmation était inattendue. La question suivante le fit légèrement grimacer, il haussa les épaules, légèrement hésitant. Le lui dire, ne pas le lui dire ? La question était là. Peut-être serais-ce une bonne chose que de le lui dire, lui expliquer les choses prouverait qu'il avait confiance en elle. Peut-être aurait-elle à son tour confiance en lui... « C'est ce qu'on dit. Mais j'avais plus envie, depuis que ma mère est... Quand on a appris qu'elle avait le cancer j'ai perdu le goût de la musique, j'ai arrêté la guitare, le chant, et mes autres passions. J'ai jamais recommencé. » Venait-il réellement de lui dire que sa mère avait le cancer ? Venait-il d'exprimer, en quelques sortes, les sentiments que le diagnostic lui avaient fait ressentir ? S'était-il livré à elle comme si c'était une chose naturelle pour lui ? Oui, et pourtant c'était loin d’être le cas. Il ne s'exprimait jamais sur son ressenti, ni sur sa vie. Jamais il n'avait dit à personne que sa mère était atteinte d'un cancer, ni que c'était la raison même de son nouveau caractère, de sa froideur. Pimprenelle le déduirait peut-être... Il lui sourit et, alors qu'il allait répondre, Cam oublia ce qu'il avait voulu dire lorsqu'elle l'embrassa sur la joue. Il la regarda sans trop comprendre puis, sans réfléchir, se pencha à son tour et l'embrassa. Sur la bouche, oui, un vrai baiser. Mais très bref, avant de se rasseoir et de plonger son regard clair dans le sien.

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Pimprenelle était tellement contente de l'avoir entendu rire il fallait dire que pendant les trois années ou elle était venu il n'avait pas rit une seule fois . Elle souriait car elle était heureuse qu'il ai rigolé en sa présence qu'elle est pu être présente et surtout que se soit elle la cause du rire "oui j'espère t'entendre rire plus souvent " . Elle savait que cela était indépendant de sa volonté mais elle allait essayer de tout faire pour. Elle ressentit une immense tristesse quand il parla de la maladie de sa maman , un cancer pour Pimprenelle c'était la pire maladie ,un de ses oncles l'avait eu et s'était atroce de le voir mourir ainsi sans pouvoir rien faire " Je suis sincèrement désolé si tu as besoin de parler ou même d'une présence quand ca va pas je suis là" elle allait pour lui poser une question quand elle sentit ses lèvres chaudes sur les siennes pas un long baisers non un très bref mais c'était déjà ca. Elle qui attendait depuis 3 ans cela elle en était presque surprise que cela arrive maintenant . Elle se redressa sur son siège et l'embrassa un plus long baisers avec de la tendresse comme elle savait en donner quand il fallait . Elle se rasseya et le regarda "On va chez toi ? "  Pimprenelle vit la connotation de sa phrase " Enfin pour voir Kovu"Un sourire s'affiche pour cacher sa maladresse et sa gêne

« Ça devrait pouvoir se faire. » En effet, il n'y avait pas de raison que cela ne recommence pas, il était à peu près heureux, ou du moins ressentait un sentiment proche du bonheur, aujourd'hui et s'il avait ri une fois il pouvait recommencer. Le sujet de sa mère était toujours difficile à aborder et, lui, il ne montrait jamais ce qu'il ressentait vraiment. Il était triste à en mourir, en colère aussi, et bien d'autres choses encore, mais tout cela demeurait enfoui au fond de lui. « Merci... » Il tenta un sourire mais le réprima rapidement. La vérité ? Sa mère mourrait dans le cours de l'année. Elle s'était étonnamment battue durant des années, sans doute était-il la cause de cette lutte acharnée pour la vie, sans doute avait-elle attendu sa libération histoire de le voir encore un peu avant la fin. C'est la raison exacte pour laquelle il allait la voir tous les jours. Les choses semblaient se compliquer entre eux, ils avaient beau se connaître depuis trois ans, le terme "connaître" n'était pas tellement adapté. Et pourtant ils agissaient désormais comme s'ils étaient ensemble ou proche de cela. C'était dès lors plus compliqué. Lorsqu'ils se détacherent l'un de l'autre, la question de Pim le surpris, et la précision le fit éclater de rire. Et voilà qu'elle l'avait fait rire deux fois ! « Oui, on y va. Pour voir Kovu, évidemment. », sourit-il en demandant l'addition de ce qu'ils n'avaient pas encore payé au serveur. Une fois la note réglée, Cam se leva et se dirigea vers la porte en compagnie de Pimprenelle. « Ma voiture est à cent mètres, près du cimetière. » fit-il en faisant tourner ses clés de voiture dans sa main. Sa voiture était une merveille, une rareté, aussi. Une magnifique Impala dont il était plus que fier. Ils arrivèrent bientôt devant et Camille ouvrit la portière passager à la jeune femme -la moindre des choses- avant de prendre place au volant et de poser son regard clair sur elle en attendant son avis sur sa voiture qu'il adorait tant. « J'adore cette voiture, t'en pense quoi ? »

Conne voilà comment elle se sentait depuis maintenant 5 minutes pourquoi elle avait cette foutue phrase , pourquoi elle avait dit cette phrase qui pouvait avoir plusieurs sens elle ne voulait surtout pas passer pour une femme comme ca , même si elle l'était mais pas avec lui . Elle se leva et alla faire la vise au serveur et se dépêcha car Camille lui tenait la porte. Elle repisra un bon coup elle avait l'impression d'être restée trois jours dans se bar sans sentir d'air venir à elle . Respire voila exactement ce à quoi elle pensait , elle ne voulait pas montrer qu'elle était stresser , elle allait chez un homme qu'elle ne connaissait pas vraiment c'est une connaissance et encore , il lui avait dit ce qu'il voulait sur lui . Elle fit un grand sourire " Parfait je vais enlever mes chaussures j'ai trop mal au pieds Elle s'appuya doucement sur son épaule et retira ses talons cela lui faisait un bien fou . La route se fit dans un silence non pas un silence genant , non au contraire un silence paisible qu'elle ne voulait surtout pas briser . Elle retenu son souffle devant la voiture et lui donna un coup de coude " Tu l'as volé a qui ? bien sûr elle rigolait et cela se voyait sur son visage et le remercia et s'asseya et explosa de rire, elle n'en pouvait plus des hommes qui ne pensaient qu'avec leurs voitures " Oh non encore un homme fan de sa voiture c'est ca ? Elle caressa doucement son bras pour lui faire comprendre qu'elle rigolait et regarda le route attachant sa ceinture pour elle c'était obligatoire on monte dans une voiture on s'attache ' Elle est magnifique comme toi

La situation amusait beaucoup Camille maintenant qu'il avait compris le malentendu. Après qu'ils se soient embrassé c'était très ambigu comme question ! Mais il ne l'imaginait pas du tout ainsi. Lui c'était différent et, pour tout dire, ça dépendait. Avec Pim il comptait faire les choses bien, et surtout il lui dirait exactement ce qu'il avait fait, il lui parlerait de ses actes répréhensibles et lui expliquerait tout. Il ferait les choses bien. Une fois qu'ils parvinrent devant la splendide Chevrolet de monsieur, Camille se montra plutôt fier de son petit bijou tandis qu'elle s'en amusait. « Je l'ai plutôt totalement reconstruite après qu'elle ait été abandonnée dans le garage par mon père avant son départ. Il avait fait un accident avec et elle était bien amochée mais je l'ai retapée quand j'avais seize ans. Pour la petite histoire. » Il lui décocha un large sourire puis lui ouvrit la portière avant de prendre place à son tour. « Arrête c'est pas n'importe quelle voiture, c'est une Impala de 67 ! C'est une merveille cette voiture. » Et puis elle avait appartenu à son "père" et lui-même avait passé du temps à la reconstruitre alors il y tenait beaucoup. « Je suis pas sûr de la comparaison mais merci... » Avec un nouveau sourire, il démarra. Après cinq-dix minutes ils étaient devant chez lui où il se garra sous les joyeux aboiements de son chien justement de sortie. Cam ouvrit la porte à Pimprenelle puis s'abaissa à la hauteur du chien. « Et voilà, je te présente Kovu le gros nounours ! » Le goldendoodle réagit à son nom par un nouvel aboiement. C'était le seul inconvénient avec les chiens.

Elle écouta attentivement quand il parla de la voiture et elle sentait qu'elle l'avait peut etre un peux vexer et se sentit encore plus con " Je suis désolé je ne voulais pas te vexer ; c'est vrai qu'elle est magnifique et tu as fait un super bon boulot La jeune Pimprenelle le pensait sincèrement et le regarda et explosa de rire c'est vrai que niveau compliment il n'était pas vraiment génial mais c'était le seul qui était venu à sa bouche " Je le conçois il y'a beaucoup mieux comme compliment mais le sens était là" . Elle regarda les bâtiments qui défilaient devant elle pendant que lui conduisait , elle adorait cela partir en voiture n'importe ou même si elle savait ou elle allait , elle adorait faire ca prendre sa voiture un sac avec des vêtements et un peux d'argents pour survivre et elle partait sur n'importe quelle route à n'importe quelle heure. Elle était tellement dans ses pensée qu'elle ne remarqua même pas qu'ils étaient déjà arrivée. Elle descendit doucement de la voiture et craqua littéralement devant le chien , il était magnifique . Elle se baissa et se fit littéralement attaquer dans le bon sens du terme par le chien elle se retrouva allongée sur le dos à rire comme une baleine " J'ai besoin de ton aide je crois Elle avait tellement mal au ventre de rire comme ca avec ce gros et magnifique chien sur elle , elle était heureuse pour la première fois depuis longtemps et elle aimait ca . Elle attendait qu'il vienne la sauver de ce monstre qui lui tartinait le visage avec sa langue tout en remuant la queue tout aussi content qu'elle .

Sortant de sa Chevrolet Impala de 1967 dont il était plus fier que tout et qu'il adorait, Camille se vit accueillir par celui qu'ils étaient venus voir. Le toutou d'une trentaine de kilos et mesurant dans les soixante centimètres se rua plutôt sur la nouvelle venue que sur son maître qu'il connaissait déjà bien et ne l'intriguait donc pas. Se jetant un peu lourdement sur Pimprenelle, il la fit tomber à la renverse sous les rires des deux jeunes gens. Alors que le Goldendoodle entreprenait de lécher le visage de la brunette en signe d'affection, Cam l'attrapa par le collier et le tira doucement mais fermement en arrière. « Kovu ! Grosse brute ! » Il éclata de rire alors que son chien lui sautait dessus. Il se releva à temps pour ne pas se faire jeter par terre, il caressa la tête de l'animal et le fit asseoir avant de s'accroupir auprès de Pimprenelle qu'il releva. « Que dire, bienvenue chez moi... Désolé pour ça, disons qu'il t'aime bien ! » Souriant à nouveau, le jeune homme verrouilla l'Impala et siffla pour que Kovu les rejoigne en direction de la maison. « On ferait mieux de rentrer, là il va vraiment pleuvoir... » Il l'avait déjà prédit tout à l'heure, avant qu'ils n'entrent dans la café, mais là c'était véritablement le cas, quelques gouttes tombaient déjà.

si elle avait pensé un jour se retrouver devant chez Camille elle n'y aurait jamais cru tellement c'était peu probable. Elle éclata de rire et le remercia une fois sur ses deux jambes et regarda le ciel qui devenait de plus en plus gris avant qu'un bruit de tonnerre fasse son apparition , elle sursauta tellement elle ne s'y attendait pas et regarda Camille "Tu as raison rentrons "Le temps d'arriver a la porte la pluie se fit plus forte et Pimprenelle se retrouva tremper rapidement la pluie ne la dérangeait pas mais le froid oui . La jeune femme passa la porte derrière lui et regarda l'interieure avec un grand sourire mais une gêne certaine était présente en elle ,  elle était quand chez lui , l'homme pour qui elle avait de vrais et fort sentiments. Une silence de sa part fit son apparition un silence gênant , elle toussota et le regarda Tu aurais de de l'eau ou du thé? elle avait dit cela plus pour casser le silence qu'autre chose .  "C'est très beau chez toi , j'aime beaucoup " Elle s'asseya sur le canapé et caresse le chien qui venait de s'installer  a ses pieds , avec un chien comme ca son père lui aurait jamais fait de mal. Elle tremblait a cause de la pluie qui venait de tomber , elle se frotta les mains et les posa sur ses genoux dénudé qu'elle idée d'être sortit sans piquer un truc a Cameron